Le dernier classement international des clubs va vraiment réjouir les Mkachkhines, les tarajistes, et autres fondamentalistes extrémistes des couleurs Sang et Or. Ainsi, selon la nouvelle hiérarchie établie par l’IFFHS, l’Espérance Sportive de Tunis est le club numéro un du football arabe et africain, et le 66e mondial.
Le Club Africain se contentera de la 161e place. L’EST coiffe donc au poteau Al Ahly (96e), l’éternel rival égyptien. Mais même les deux clubs marocains, à savoir le MAS Fès, et le Wydada de Casablanca feront mieux que les Pharaons avec leur 85e place.
Plus surprenant encore : l’Espérance fait mieux que des clubs aussi fameux que l’Ajax Amsterdam (71ème mondial), ou le Villarreal espagnol (70ème). Et même la vieille dame italienne, la fameuse Juventus, est laissée loi derrière, puisqu’elle se contente d’une pas très glorieuse 95ème position.
De quoi vraiment consoler les espérantistes de la «désertion» de Darraji. Et pour ceux que ce classement plutôt flatteur (basé sur les résultats des équipes sur la période du 1er mars 2011 au 29 février 2012) rend sceptiques, il faudrait rappeler que l’International Federation of Football History & Statistics (IFFHS) est une institution très sérieuse. Elle établit également des hiérarchies mondiales des joueurs et des entraîneurs du ballon rond. C'est Tarek Dhiab qui doit être content. Il risque même d’y voir un signe divin, du haut de son nouveau poste à la tête du ministère de la Jeunesse et des Sports.
Le Club Africain se contentera de la 161e place. L’EST coiffe donc au poteau Al Ahly (96e), l’éternel rival égyptien. Mais même les deux clubs marocains, à savoir le MAS Fès, et le Wydada de Casablanca feront mieux que les Pharaons avec leur 85e place.
Plus surprenant encore : l’Espérance fait mieux que des clubs aussi fameux que l’Ajax Amsterdam (71ème mondial), ou le Villarreal espagnol (70ème). Et même la vieille dame italienne, la fameuse Juventus, est laissée loi derrière, puisqu’elle se contente d’une pas très glorieuse 95ème position.
De quoi vraiment consoler les espérantistes de la «désertion» de Darraji. Et pour ceux que ce classement plutôt flatteur (basé sur les résultats des équipes sur la période du 1er mars 2011 au 29 février 2012) rend sceptiques, il faudrait rappeler que l’International Federation of Football History & Statistics (IFFHS) est une institution très sérieuse. Elle établit également des hiérarchies mondiales des joueurs et des entraîneurs du ballon rond. C'est Tarek Dhiab qui doit être content. Il risque même d’y voir un signe divin, du haut de son nouveau poste à la tête du ministère de la Jeunesse et des Sports.